LUMUMBA: Le feu sacré de la souveraineté africaine
Kinshasa,le 24 Juin 2025. -Le Vice-ministre de l’Éducation nationale et Nouvelle Citoyenneté, Jean-Pierre Kezamudru Musisiri, rend un vibrant hommage au héros de l’indépendance congolaise.
« Le cri d’un continent, la voix d’un homme libre »
En ce 24 juin, date historique de son élection au poste de Premier ministre en 1960, la mémoire de Patrice Émery Lumumba demeure plus vivace que jamais. À cette occasion, le Vice-ministre de l’Éducation nationale et Nouvelle Citoyenneté, Jean-Pierre Kezamudru Musisiri, a tenu à saluer avec force la figure emblématique de celui qui incarne, aux yeux de l’Afrique et du monde, le combat pour la liberté et la dignité humaine.
« Il n’était pas seulement Congolais.
Il était l’Afrique debout, le poing levé, la tête haute face à l’oppression. »
Lumumba n’était pas un homme ordinaire. Il était l’incarnation de la conscience africaine, un symbole de souveraineté intransigeante, une voix indomptable qui refusait les compromis de la soumission. Son discours du 30 juin 1960, devant les autorités coloniales, fut un acte de bravoure politique et un message d’émancipation pour les peuples opprimés.
« Il n’avait pas peur.
Ni de l’Empire, ni des balles, ni de la trahison.
Parce qu’il savait que mourir pour la liberté valait mieux que vivre à genoux dans les chaînes. »
Pour Jean-Pierre Kezamudru Musisiri, ce courage politique, cette parole libre et fière, sont au cœur même des valeurs que l’Éducation nationale et Nouvelle Citoyenneté veut transmettre aux générations futures. Lumumba a tracé un chemin : celui de la vérité, de la justice, de la résistance aux puissances prédatrices.
« Lumumba incarnait le rêve d’une Afrique libre, forte, unie.
Un rêve que l’Occident a voulu étouffer dans le sang.
Mais on n’enterre pas un espoir. On ne tue pas une idée. »
65 ans après son élection, Patrice Lumumba n’est pas qu’un souvenir figé dans l’histoire. Il est une force vivante, un appel permanent à la vigilance, à l’unité africaine, à la souveraineté populaire. Sa mort tragique n’a pas éteint son combat ; elle l’a au contraire projeté dans l’éternité.
« Aujourd’hui encore, son nom inspire les luttes des peuples opprimés,
des jeunes africains en quête de justice, de souveraineté et de dignité.
Il est le feu dans la poitrine des panafricains.
Il est le souvenir qui dérange les puissants et rassure les justes. »
À travers cet hommage solennel, le Vice-ministre de l’Éducation nationale et Nouvelle Citoyenneté rappelle que l’école congolaise a le devoir de porter et transmettre cet héritage, non par nostalgie, mais pour éclairer l’avenir. Car, comme il le souligne :
« Patrice Lumumba, héros immortel, le continent ne t’oublie pas.
Tu as semé la graine de la liberté. Et nous sommes la forêt qui pousse. »
La Rédaction
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Nsaka kabeya Junior
> Cet article est bien plus qu’un hommage : c’est un rappel à nos consciences, un appel au réveil, à l’action, à la fidélité à l’idéal africain que Lumumba a porté jusqu’au sacrifice suprême. 🔥
En le lisant, je me rends compte qu’il ne suffit pas d’admirer Lumumba. Il faut hériter de son combat, et cela commence par des tâches concrètes :
✅ 1. Lire et étudier la pensée de Lumumba en profondeur. Comprendre ses discours, son combat, sa vision de l’Afrique.
✅ 2. Organiser des discussions ou tables rondes autour de la souveraineté africaine : dans les écoles, dans les quartiers, en ligne.
✅ 3. Produire du contenu (vidéo, article, podcast) pour continuer à transmettre la flamme de l’indépendance à la jeunesse.
✅ 4. Créer ou soutenir des initiatives locales qui incarnent l’autodétermination : agriculture, innovation, éducation, entreprenariat africain.
✅ 5. Refuser le silence : parler, écrire, créer, élever la voix contre l’oppression, la soumission ou la manipulation néocoloniale.
✅ 6. Honorer nos héros par nos actes. Ne pas les laisser enfermés dans les statues, mais marcher dans leurs pas, debout, dignes, unis.
Patrice Lumumba, c’est un flambeau. Et nous avons le devoir de porter ce feu sacré plus loin encore.
🇨🇩✊🏿 L’Afrique ne mourra pas tant qu’il y aura des hommes et des femmes debout pour la défendre, la construire et l’aimer sans conditions.
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