16 juin – Journée de l’Enfant africain : le Vice-ministre appelle à un engagement renforcé en faveur de l’enfant congolais

Kinshasa, 16 juin 2025 – À l’occasion de la Journée internationale de l’Enfant africain célébrée ce 16 juin, le Vice-ministre de l’Éducation nationale et Nouvelle Citoyenneté, Jean-Pierre Kezamudru Musisiri, a livré un message fort en direction des décideurs, des partenaires sociaux et de la population congolaise. Il a salué la résilience et le courage des enfants africains, en particulier ceux de la République Démocratique du Congo, tout en réaffirmant l’engagement du gouvernement à garantir leur bien-être et leur avenir.

« En cette journée spéciale, nous rendons hommage à la résilience, à la force et aux rêves des enfants d’Afrique, singulièrement ceux de la RDC. Cette année, plus que jamais, nous réaffirmons notre engagement à leur garantir un avenir digne, sûr et équitable », a déclaré le Vice-ministre.


Le 16 juin est un jour de mémoire, mais aussi de mobilisation. Instituée en souvenir du massacre de Soweto en 1976, cette journée vise à rappeler l’importance des droits de l’enfant en Afrique, dans des contextes encore souvent marqués par l’instabilité, la pauvreté et les inégalités.

Pour Jean-Pierre Kezamudru, l’heure est à l’action : il plaide pour un accès universel à une éducation de qualité, des soins de santé adaptés, une protection effective contre toutes les formes de violence, et un environnement affectif et sécurisant pour chaque enfant.

Il attire particulièrement l’attention sur les enfants vivant dans des zones de conflit armé ou touchés par les crises humanitaires, notamment dans l’est du pays. Pour lui, ces enfants doivent faire l’objet d’une priorité absolue dans les politiques publiques de réhabilitation, de scolarisation et de protection.

« Investir dans leur avenir, c’est bâtir une Afrique plus juste, plus forte et plus prospère », a-t-il souligné, avant d’ajouter : « Ensemble, défendons les droits des enfants. Écoutons-les, soutenons-les, et agissons pour eux. Parce que chaque enfant compte. »


Le Vice-ministre a ainsi invité tous les partenaires de l’éducation, les ONG, les confessions religieuses, les leaders communautaires et chaque citoyen à faire front commun pour défendre les droits des enfants congolais, en particulier les plus vulnérables.

La Rédaction